Corinne Mercadier
Vit entre Paris et Bages
Elle est représentée par la Galerie Binome, Paris
C’est au contact flottant entre réel et imaginaire que s’élabore depuis les années 80 le monde de Corinne Mercadier. Elle pratique la photographie et le dessin avec une mobilité permanente de l’une à l’autre par-delà les époques et les thématiques : actuellement trois séries de dessins, (dont une nouvelle, "Rêves", a été présentée pour la première fois à Art Paris 2024), voisinent avec la série photographique en cours « La nuit magnétique » qui mêle photographies d’espaces réels et photographies de peintures sur verre. CM reprend ainsi pour la troisième fois dans l'histoire de son travail cette technique aux effets d’aura. Elle a travaillé au Leica argentique et au Polaroid SX70 jusqu’en 2008, puis s’est tournée vers le numérique après avoir exploré diverses pratiques photographiques dites « pauvres ».
Corinne Mercadier a réalisé jusqu’en 2019 des mises en scène photographiques qui accordent une place importante à la danse et à l’architecture. Elle a dessiné et écrit dans des carnets de travail, fait appel à des modèles, d’abord famille et amis, puis danseurs ou acteurs. Lumière naturelle et décors existants sont une constante, que ce soit dans les zones humides de la Narbonnaise pour la série « Solo » en 2012 ou sur des toits remarquables comme ceux de l’Observatoire de Paris ou du Château de Chambord en 2016 pour la série « Le ciel commence ici ». Elle fabrique les costumes et les sculptures destinées à être lancées au cours des prises de vue.
Elle est représentée par la Galerie Binome, Paris
C’est au contact flottant entre réel et imaginaire que s’élabore depuis les années 80 le monde de Corinne Mercadier. Elle pratique la photographie et le dessin avec une mobilité permanente de l’une à l’autre par-delà les époques et les thématiques : actuellement trois séries de dessins, (dont une nouvelle, "Rêves", a été présentée pour la première fois à Art Paris 2024), voisinent avec la série photographique en cours « La nuit magnétique » qui mêle photographies d’espaces réels et photographies de peintures sur verre. CM reprend ainsi pour la troisième fois dans l'histoire de son travail cette technique aux effets d’aura. Elle a travaillé au Leica argentique et au Polaroid SX70 jusqu’en 2008, puis s’est tournée vers le numérique après avoir exploré diverses pratiques photographiques dites « pauvres ».
Corinne Mercadier a réalisé jusqu’en 2019 des mises en scène photographiques qui accordent une place importante à la danse et à l’architecture. Elle a dessiné et écrit dans des carnets de travail, fait appel à des modèles, d’abord famille et amis, puis danseurs ou acteurs. Lumière naturelle et décors existants sont une constante, que ce soit dans les zones humides de la Narbonnaise pour la série « Solo » en 2012 ou sur des toits remarquables comme ceux de l’Observatoire de Paris ou du Château de Chambord en 2016 pour la série « Le ciel commence ici ». Elle fabrique les costumes et les sculptures destinées à être lancées au cours des prises de vue.