Latuvu wit contemporain blue

Slide thumbnail

Golnaz AFRAZ

ONAVU

Ariel Moscovici

ONAVU

Annette Cords

ONAVU

Arjan JANSSEN

ONAVU

Cecilia JAIME

ONAVU

Christine VALCKE

ONAVU

Claudio Isgro

ONAVU

Claudine Capdeville

ONAVU

Colin WAEGHE

ONAVU

Daniela Chirion

ONAVU

Corinne Mercadier

ONAVU

Dominiq VD WALL

ONAVU

Dimitris Tzamouranis

ONAVU

Elham Etemadi

ONAVU

Elfriede Dreyer

ONAVU

Hervé MARTIJN

ONAVU

Gregory Moulin

ONAVU

Germain Roesz

ONAVU

Ingrid Hornef

ONAVU

Ine Lammers

ONAVU

Ilene Sunshine

ONAVU

Ivo Ringe

ONAVU

Iris BOUWMEESTER

ONAVU

Jaanika PEERNA

ONAVU

Jean-Christophe Alix

ONAVU

Jerry LYLES

ONAVU

Jean BILQUIN

ONAVU

Fik VAN GESTEL

ONAVU

Marietta HOFERER

ONAVU

Loerita SAYMAN

ONAVU

Laure Foret

ONAVU

Rosita GERONIMO

ONAVU

Sima Jahangirian

ONAVU

Sylvie DE MEURVILLE

ONAVU

Hedwig BROUCKAERT

ONAVU

Michael KUKLA

ONAVU

Gwenneth MILLER

ONAVU

Haleh Zahedi

ONAVU

Jean Godecharle

ONAVU

Joan GRUBIN

ONAVU

Stephanie LEBLON

ONAVU

Serge Griggio

ONAVU

Suzan Shutan

ONAVU

Steven Antiono MANES

ONAVU

Sylvie Romieu

ONAVU

Sylvie Rivillon

ONAVU

Yves BEAUMONT

ONAVU

Yves Velter

ONAVU

Colin Waeghe  a commencé sa carrière active de peintre en 2009 et a progressivement développé sa propre touche pointilliste qui chevauche la ligne entre la figuration et l'abstraction. À travers son travail, il souhaite approfondir les concepts de temps, de réalité, de distance et de ce que signifie être un étranger. L'œuvre de Waeghe se caractérise par un mélange d'éléments autobiographiques, de bribes d'actualité et d'images empruntées aux médias populaires.431753828 948532576887027 2380979094978490600 n

‘Vers la chute, il y une marche' est le titre de la dernière exposition de Colin Waeghe à Galerie Zwart Huis à Bruxelles. Chute peut signifier à la fois une chute et une cascade. En direction de la chute, il y une étape à franchir. Cela semble quelque peu contradictoire; une chute est en même temps un pas en avant, ce qui implique un progrès ou un nouveau développement.

L’élément de l’eau est depuis longtemps attribué une qualité libératrice et purificatrice. L’eau est universellement associée à la purification et au changement. Le rituel du baptême est peut-être l’exemple le plus connu dans nos contrées; se plonger (ou se faire plonger) dans l’eau comme un rite de passage, une transition. Ce n’est pas étrange. Après tout, l’eau est la condition absolue de la vie et de la fertilité.

Une cascade est parfois aussi un passage. Dans ce cas, la cascade représente un retour aux sources - littéralement revenir à une source ou une origine - pour faire un pas en avant. Souvent, à la cascade jaillit un courant, un nouveau commencement. Au sens figuré, une cascade active un flux d’associations libres. Comme une cascade de paroles, il est aspiré à peindre de manière libre, associative et intuitive.

Cependant, pour atteindre cette cascade, un pas doit être franchi. Ce pas consiste à abandonner l’image pour revenir à la peinture ou le plaisir de peindre et de jouer avec la couleur peut primer à nouveau. Le sujet implique également un retour à la nature, à la source de toute vie. La cascade reflète la grandeur de cette nature et fait allusion à sa pureté.

Cette nouvelle série d’œuvres est rien de moins qu’une ode à la vie. Célébrer la vie s’exprime à travers les couleurs et le pur plaisir de de travailler la matière de la peinture.

Georges Petitjean

(1980) vit et travaille à Bruxelles (B). Il a étudié à Sint Lukas
Brussels, au RITCS Brussels (arts dramatiques) au POPOK d’Anvers (scénographie) et à l’institut Supérieur des Beaux-Arts (HISK) de Gand.